À l’entrée de la Goulette en arrivant de Tunis, la vaste place qui sépare les avenues Bourguiba et Roosevelt est réputée pour ses palmiers. D’ailleurs même le café du coin se nomme Ennakhil ce qui signifie les palmiers en langue arabe.
Nous le savons : nos palmiers ont souffert ces dernières années du charançon rouge, un fléau qui a emporté des centaines d’arbres sur les grandes avenues de Tunis et ses banlieues.
Est-ce aussi le cas à la Goulette ? Plusieurs palmiers sont complètement ratatinés sur cette place centrale et donnent une image de tristesse à toute une ville.
Que faire pour que la Goulette garde son éclat ?
Lire aussi
- Triste : Les palmiers moribonds d’Ez-Zahra
- A Carthage, les palmiers morts renaissent en bougainvilliers
- Palmiers à Tunis et banlieues : Pourquoi en être arrivés là ?
- Charançon rouge : Triste, les palmiers de Tunis tombent l’un après l’autre
- Jeune, adulte, infesté, tronçonné : Le destin tragique des palmiers de Carthage