Les numismates reconnaîtront ces grosses et petites coupures dont la circulation remonte aux années soixante.
En ce temps, il existait encore un billet d’un dinar et aussi un billet de cinq cents millimes qui disparaĂ®tront au milieu des annĂ©es soixante-dix.
A l’Ă©poque, le billet de dix dinars Ă©tait la plus grosse coupure en circulation et, croyez-moi, c’Ă©tait un problème vĂ©ritable de faire la monnaie pour un si gros billet.
En regardant ces billets de banque, je retrouve des images d’antan et aussi des thĂ©matiques qui tournaient gĂ©nĂ©ralement autour de Bourguiba, omniprĂ©sent sur cette monnaie.
Neptune trĂ´nait sur le billet d’un dinar alors qu’un port antique issu d’une mosaĂŻque parait le billet de cinq cents millimes. MosquĂ©es, oasis, usines et l’incontournable collège Sadiki ornaient aussi ces billets de banque inoubliables.
Comme quoi, parfois, la nostalgie peut se nicher dans le souvenir d’un porte-feuille !
