Les plaques indicatrices des rues de Tunis regorgent de fautes d’orthographe qui, parfois, sont des plus grossières.
Les noms mal Ă©crits le sont en gĂ©nĂ©ral aussi bien en arabe qu’en français, soulignant un laisser-aller coupable de ceux Ă qui est confiĂ© ce travail.
Car, en gĂ©nĂ©ral, il s’agit simplement de copier, retranscrire sans aucun autre effort.
MalgrĂ© cela, les fautes pullulent et, souvent, toujours, sont inacceptables. Car, il ne s’agit pas d’un Ă©lève du primaire qui Ă©crit mais de responsables agissant au nom d’une ville et de sa municipalitĂ©.
La dernière plaque avec laquelle je me suis retrouvé nez à nez porte le nom mal orthographié du docteur Charles Nicolle dont le nom prend deux « l ».
La faute s’est glissĂ©e lorsque les plaques ont Ă©tĂ© renouvelĂ©es puis a Ă©tĂ© reproduite tout au long de l’avenue.
Parfois dignes d’un bĂŞtisier, ces fautes d’orthographe doivent ĂŞtre corrigĂ©es. Il y va de l’image de marque de nos villes.
