Certains attaquants laissent un sillage de mĂ©moire inaltĂ©rable. Bien sĂ»r, chaque Ă©quipe a ses idoles mais il n’en reste pas moins que quelques joueurs ont marquĂ© l’histoire et le public.
A l’EspĂ©rance, on pourrait Ă©voquer Hadj Ali ou Tlemçani, Zoubeir Boughnia ou Malitoli. Au Club Africain, Chaibi, Chaoua, Camacho ou Touati ont laissĂ© une image vivace. Au Stade Tunisien, les frères ChĂ©rif, Kerrit ou Limam ont Ă©crit de belles pages d’histoire. Que dire de MĂ©rrichko et Anniba Ă l’Avenir de la Marsa !
A l’Etoile, Mougou occupe une place Ă part alors que Adhouma, Jenayah ou Jaziri ont contribuĂ© Ă forger la lĂ©gende du club. A Sfax, comment oublier le virevoltant Barka et le rusĂ© Dalhoum, cĂ´tĂ© clubiste et les lĂ©gendaires Madhi et Chakroun, cĂ´tĂ© cheminot ? Et tous les autres: Mkada Ă Monastir, Choulak Ă Bizerte, Ouada Ă Kairouan et Henchiri au COT.
Tous nous ont fait savourer le football et sont demeurĂ©s dans nos mĂ©moires. Comment se souvenir de tous les ailiers, avant-centres et demis offensifs ? Comment les citer tous ? Comment Ă©crire l’histoire du beau jeu, celle des ballons qui vont mourir au fond des filets et celle de l’impuissance des gardiens de but face Ă la furia des lignes d’attaque ?
