Depuis un certain 7 mars 2012, Khaoula Rachdi est devenue Ă mes yeux une Marianne tunisienne, une Ă©gĂ©rie de la rĂ©volution et de l’engagement des femmes.
Bien sĂ»r, depuis l’assaut contre Ben Guerdane, son image m’est revenue Ă l’esprit et ne me quitte plus. Souvenez-vous, le 7 mars 2012, alors que la fac des lettres de Manouba Ă©tait en pleine agitation salafiste, un fondamentaliste barbu escalade le mur du campus et tente de hisser le drapeau noir des faussaires.
C’est Ă moment que Khaoula surgit, in