Après la révolution,Tunis est devenue une destination privilégiée pour les prédicateurs obscurantistes de tout poil.
InvitĂ©s par des associations islamistes aux contours flous et difficiles Ă identifier au niveau de leur appartenance politique, ces prĂ©dicateurs sont payĂ©s comme des stars et viennent semer haine de l’Occident et lectures rĂ©trogrades de notre religion.
Après Wajdi Ghounim et plusieurs autres « événements » dont des congrès salafistes et des tournées de conférences, voici le tour du Saoudien Ayedh El Qarni de répandre la bonne parole.
Connu pour des affaires de plagiat et de violences verbales, ce nouvel illuminĂ© est sous le coup d’une instruction judiciaire.
Qui l’a invitĂ© en Tunisie ? Pourquoi notre pays devient-il une plate-forme intĂ©griste ? Qui a intĂ©rĂŞt Ă ce que s’installe cette ambiance de Londonistan dans notre pays, rĂ©putĂ© construire une dĂ©mocratie.
Les questions sont posées et les réponses ne sont que trop évidentes.
