L’affaire prend de plus en plus de l’ampleur. Des enfants se font injecter des substances inconnues par des criminels à des fins jusque-là inconnues.
Une source auprès de la police judiciaire a révélé que jusque-là 14 plaintes ont été déposées pour des cas similaires signalés dans différents gouvernorats, dont notamment Tunis et Gafsa.
Plusieurs filles mineures ont récemment fait l’objet d’injections à des substances inconnues, dans trois gouvernorats presque simultanément.
Après l’enquête qui a été ordonnée, les tests des analyses effectuées par le médecin légiste ont été dévoilés. Aucune trace d’infections, de substances toxiques ou de maladies transmissibles n’a été découverte dans les échantillons prélevés sur sept mineures.
Des sources judiciaires indiquent également qu’une fille soupçonnée d’avoir subi un tel acte est revenue sur ses affirmations, ajoutant qu’elle a simplement imaginé la scène sous l’effet des informations sur les réseaux sociaux.
Le ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes seniors a révélé que cinq filles mineures ont récemment fait l’objet d’injections à des substances inconnues, dans trois gouvernorats.