Une frappe israélienne ciblant le sud libanais a tué un soldat libanais, le premier depuis le début le 8 octobre des échanges de tirs quasi quotidiens à la frontière entre Israël et le Hezbollah.
Plusieurs autres blessés ont été signalés dans ces frappes inédites depuis le début du conflit, alors que la communauté internationale avertit contre l’embrasement de la guerre.
La France a rapidement réagi à ces frappes et a exprimé sa « vive inquiétude par la poursuite des affrontements à la frontière entre le Liban et Israël ».
La porte-parole du Quai d’Orsay a appelé dans un communiqué « toutes les parties » à « la plus grande retenue ». L’armée israélienne affirme n’avoir pas ciblé les forces armées libanaises, mais une position du mouvement armé libanais Hezbollah.