Une affaire peu commune qui a eu lieu à Kasserine. Accusé d’avoir torturé un chat jusqu’à la mort, un citoyen a écopé de 15 jours de prison avec sursis et d’une amende.
Riadh Nouioui, porte-parole du ministère public près le tribunal de première instance à Kasserine, a indiqué, dans une déclaration accordée, ce mercredi 24 janvier, à Mosaique fm, qu’un citoyen, accusé d’avoir torturé un chat, a été condamné à une peine de 15 jours de prison avec sursis, et à une amende financière.
Un mandat de dépôt avait été émis contre ce citoyen suspecté d’avoir torturé un animal jusqu’à la mort et ce après la diffusion sur les réseaux sociaux, d’une vidéo où l’on voit cet individu, aidé de son fils, torturer un chat à l’aide de chiens.
Le dossier de son fils, un enfant de 14 ans, a été classé sans suites.