Ce mot est sur toutes les lèvres. On le dit à gorge déployée dans les marchés et de manière moins bruyante quand deux personnes se croisent pour un brin de conversation.
« Ayadi », un terme qui est une déclinaison du mot « Aid ». Si nous le traduisions littéralement, il prendrait le sens de « festif », « joyeux » ou encore si nous l’osions « aidal ».
Ce mot à lui seul exprime toute la liesse de l’Aid et si nous lui ajoutions l’expression Snin deyma », ce serait un gage supplémentaire pour la continuité des célébrations festives dans la joie, l’équilibre, la santé et la prospérité.
Quand le mot « Ayadi » fuse, la fête n’est jamais loin et, à sa manière, ce terme équivaut à un sonore, retentissant et fédérateur « hip hip hip Aid ».
Bonnes fêtes à toutes et à tous. Merci d’avoir été fidèles à cette chronique du Ramadan. Elle s’achève sur le mot « Ayadi » et la promesse d’une fête qui revient, de la vie qui reprend après les rigueurs du jeûne.