Un brik peut-il coûter 32 dinars ? Ce prix si élevé est pourtant affiché dans un restaurant huppé de la banlieue nord. Est-ce logique ?
La rengaine est connue : on paie aussi pour le cadre, le service et le prestige de l’enseigne. Mais cela suffit-il à justifier qu’un simple brik soit proposé à 32 dinars ?
Il est tout aussi vrai que nul n’est tenu à payer une somme pareille pour une feuille de malsouka, un œuf et de la farce fût-elle garnie aux fruits de mer.
On peut simplement passer son chemin et aller voir ailleurs mais il n’en reste pas moins que certains prix sont astronomiques pour ne pas dire autre chose.
Les trois briks à presque 100 dinars, c’est un record qui semble inégalable. A moins que certaines enseignes de luxe aient déjà surenchéri.
Quand les prix donnent le vertige, rien de mieux qu’une virée à la Goulette pour se rassurer que nous sommes bien en Tunisie !