Si un dialogue national venait à être organisé entre les différentes composantes de la sphère politique, ce dialogue devra réunir tout le monde. C'est le souhait de l'UGTT, exprimé par son secrétaire général adjoint, Samir Cheffi.
"Les positions de l’UGTT sont fermes et claires, et il n’est pas possible de proposer un dialogue qui génère une crise...", a-t-il notamment déclaré a Middle East Monitor.
Samir Cheffi a souligné que l'UGTT n'est pas d'accord pour la tenue d'un dialogue national excluant le président de la République Kais Saied ou le Mouvement Ennahdha, dénonçant, dans ce sens, les appels de certains.
Il a réitéré la volonté de la centrale syndicale à n'exclure aucune partie.