ARP : La sécurité présidentielle dénonce les tentatives de l'entraîner dans les conflits politiques

ARP : La sécurité présidentielle dénonce les tentatives de l'entraîner dans les conflits politiques
National
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La direction générale de la sécurité présidentielle a renouvelé son engagement envers les valeurs de la République, et son refus d'être entraîné dans des tiraillements politiques. Le communiqué a été publié à la suite d'altercations entre les députés d’Al-Karama conduits par Seifedine Makhlouf et des agents de la sécurité présidentielle chargée d’assurer la protection du parlement hier, vendredi 10 juillet. Et pour cause, un invité de ladite coalition qui s’est avéré fiché S17 et que le président du bloc Al Karama, Makhlouf a voulu faire entrer de force, a été interdit d’accéder au parlement. La direction a évoqué l'histoire de l'institution "qui a commencé avec l'instauration de l'État national, et son héritage de protocole et d'honneurs, remontant à des siècles, avec des tâches claires". Et d'ajouter être préoccupée par les tentatives désespérées d'entraîner l'institution vers des conflits, "qui, aussi élevés soient-ils, ne seront pas plus importants que les missions qui lui sont confiées". Pour sa part, le syndicat des forces sécuritaires intérieures a fustigé, sur sa page Facebook, les agissements de Seifeddine Makhlouf, mettant en garde contre les tentatives de « blanchiment du terrorisme et des terroristes ».



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