L’Instance de lutte contre la corruption (INLUCC) a annoncé qu’en 2015, les Tunisiens ont payé 500 millions de dinars de pots-de-vin dans le cadre de ce qu’on appelle la micro-corruption.
Chawki Tabib, président de l’INLUCC a ajouté que la corruption et la mauvaise gestion coûtaient 2 milliards de dinars par an en transactions publiques uniquement, ce qui permettrait la construction de « 3 aéroports internationaux, 20 ports maritimes, 70 lycées secondaires et 500 km d’autoroutes ».