La loi de réconciliation économique refait surface. Après près de deux ans, la loi controversée sera examinée par les députés de l'ARP dans les jours à venir, chose qui a induit la société civile et les blocs parlementaires s'opposant à ce projet de loi à réagir.
Invité sur Mosaique fm, le chef du cabinet présidentiel, Slim Azzabi, a défendu cette loi expliquant qu'elle ne sert pas à blanchir les corrompus comme certaines personnes l'estiment.
"Cette loi ne concerne pas les personnes corrompues ou celles qui ont reçu des pots-de vin, mais plutôt les employés qui ont commis des erreurs et des dépassements par erreur ou sous pression," a-t-il ajouté.
Azzabi a poursuivi que la loi de réconciliation a été proposée par la présidence de la République qui, selon lui, a attendu deux ans afin que les différentes parties, entre autre la société civile, proposent des réformes ou des modifications quant au texte de loi.
DA