Suite au décès d'une patiente, une enquête pour "homicide involontaire commis ou causé par maladresse, imprudence, négligence, inattention ou inobservation" (article 217 du code pénal) a été ouverte et dirigée par la sous-direction des affaires criminelles de la garde nationale de Ben Arous.
Le porte-parole du Tribunal de première instance de Tunis, Sofien Selliti a indiqué que qu'un médicament administré à la patient aurait été la cause de son décès, et non une erreur médicale.
Produit par un laboratoire étranger, l'anesthésiant en question a été importé par la commission d'achat des médicaments (CAM) pour le compte de la pharmacie centrale. Il présentait une anomalie au niveau de sa composition et a été retiré de tous les hôpitaux, toujours selon Selliti.
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