"Nous avons reçu hier, mardi 6 janvier, une note de travail du ministère de l'Intérieur pour autoriser désormais le port d'armes aux sécuritaires en dehors des horaires du travail", vient de nous affirmer ce mercredi 7 janvier, Chokri Hamada, porte-parole du syndicat des forces de sûreté intérieure en Tunisie.
Cette décision vient à la suite de la demande des syndicats sécuritaires après l’assassinat du policier Mohamed Ali Charaabi à El Fahs, dans le gouvernorat de Zaghouan, poignardé au coeur puis égorgé par « un groupe extrémiste takfiriste », selon le ministère de l’Intérieur, qui a arrêté des suspects.
Commentaires