Le directeur de l'hygiène et de la protection de l'environnement au sein du ministère de la Santé, Mohamed Rabhi, a fait savoir qu'au cours du mois de Ramadan, le pourcentage de fraude alimentaire augmente de 20% par rapport au reste de l'année.
Selon ses dires, certains quartiers populaires sont devenus des "incubateurs de tricheurs".
S'exprimant au journal Achourouk dans son édition de ce mercredi 8 mai, le responsable a ajouté que les citoyens ne boycottent pas les voies de vente anarchiques, sous prétexte que leurs prix sont raisonnables, ignorant les risques liés à ces produits non contrôlés.