Dans une large partie consacrée à la stratégie de l’Etat en matière de maîtrise de la consommation d’énergie, le rapporte de la Cour des Comptes a accusé des dépassements et un manque énormes de politiques visant à réduire la consommation d’énergie non-renouvelable.
Le rapport indique que depuis l’instauration de la politique de subvention des carburants en Tunisie, des surconsommations ont été enregistrées, confrontées à une baisse d’investissements en matière d’énergies renouvelables.
A cet effet, le rapport indique que les agents de la STEG par exemple consomment 11,33 millions de dinars d’électricité gratuitement, ce qui coute à l’Etat une subvention estimée à 3,9 millions de dinar en 2013.
La Cour des Comptes appelle dans ce sens la STEG à revoir le système de gratuité de l’électricité à ses agents.