Ils sont désormais 70 jeunes médecins fraîchement diplômés des universités russes et ukrainiennes qui attendent leur équivalence pour pouvoir exercer.
Ce processus est en train de durer et ces jeunes médecins sont inquiets pour leur avenir tout en se disant prêts à rejoindre un poste n'importe où dans le pays.
En négociation avec les ministères compétents qui font durer le suspense, ces jeunes viennent aujourd'hui renforcer la cohorte des diplômés au chômage forcé.