BCE : "Moi aussi, à mon âge, je me considère comme un homme d’avenir"

BCE : "Moi aussi, à mon âge, je me considère comme un homme d’avenir"
National
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Après deux jours de saga franco-tunisienne avec la visite du président français Emmanuel Macron qui s’est finalisée jeudi 1er février, Béji Caïd Essebsi se repasse en souvenir la relation du couple franco-tunisien. Loin de la polémique du budget alloué à la Tunisie si attendus par les Tunisiens, notre Président actuel rappelle que « les relations entre les deux pays ont toujours marché » avec un optimisme à toute épreuve pour l’avenir. Mais c’est une autre polémique qui a été soulevée lors d’une interview de Jean-Pierre Elkabbach : Béji Caïd Essebsi (BCE) désire-t-il se représenter pour un deuxième mandat ? BCE refuse alors de répondre directement au journaliste français et le Chef d’Etat de presque 92 ans reprend subtilement : « j’ai un mandat qui finit en décembre 2019, j’espère tenir jusque là, et je continuerai à travailler conformément à mes engagements ». Une confirmation, par la même occasion, de n’avoir aucun héritier pour le siège et que son fils Hafedh Caïd Essebsi actionne une polémique qui n’a pas lieu d’être, ne faisant pas partie ni du gouvernement ni d’aucun appareil de l’Etat.

Sonia Falcou




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