Le Mufti de la République, Othman Battikh a qualifié hier, jeudi 25 janvier, la migration clandestine de "haram".
Selon lui, "les jeunes qui choisissent ce voyage périlleux risquent leur vie et peuvent facilement mourir en plein mer, et en plus ils laissent derrière eux leur pays et leur famille", rappelant le verset coranique "Et ne vous jetez pas par vos propres mains dans la destruction".
"Il s'agit d'un danger qui porte atteinte aux personnes, à leurs propriétés et à leurs familles, d'où c'est un péché", a-t-il expliqué.
Quelques heures après, le ministre des affaires religieuses algérien Mohamed Aïssa, a également annoncé la migration clandestine "haram".