A l’approche du jour de l'an, Lotfi Brahem se prononce sur la situation sécuritaire du pays

A l’approche du jour de l'an, Lotfi Brahem se prononce sur la situation sécuritaire du pays
National
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Alors que la fête du jour de l’an s’approche, les citoyens se demandent certainement sur la situation sécuritaire du pays. Et c’est à Lotfi Brahem ministre de l’Intérieur de faire le point. « La situation sécuritaire dans le pays est en constante amélioration et les préparatifs sont en cours pour la sécurisation de la célébration du nouvel an », a-t-il affirmé, jeudi 14 décembre 2017, à Hammamet. Le but est de réunir les conditions de protection des personnes et de la sécurité routière, a-t-il dit, encore indiqué. Dans une déclaration de presse, en marge de sa participation à la Conférence internationale sur la lutte contre la torture ayant pour thème : les “Mécanismes nationaux de la prévention de la torture: références et pratiques”, le ministre a indiqué que toutes les marches organisées dans les différentes régions du pays se sont déroulées “dans le respect mutuel” (entre forces de l’ordre et manifestants). Interrogé sur les actes de violence survenus, mercredi soir, au Kram, le ministre de l’Intérieur a déclaré “les informations qui circulent ne sont pas toujours vraies”, ajoutant qu’une enquête sera ouverte à ce sujet, rapporte la TAP. Sur la mort d’un détenu à Bouarada (gouvernorat de Siliana), qui se serait suicidé avec une cordelette dissimulée dans son manteau selon les premiers éléments de l’enquête, le ministre de l’Intérieur a indiqué que les tentatives de suicide dans les centres de détention ont lieu environ toutes les semaines. Le ministère envisage d’installer des caméras de surveillance dans ces centres afin de prévenir de tels actes, a-t-il annoncé. Quant à l’installation de caméras de surveillance et la mise en application des dispositifs de surveillance au plan national ayant soulevé quelques réserves, Lotfi Brahim a affirmé que cette initiative a été prise en concertation avec les différentes structures concernées. “Le projet appartient à l’Etat tunisien et non au ministère”, a-t-il dit, rappelant que le budget prévu pour ce programme a été adopté par l’Assemblée des représentants du peuple et la commission de sécurité et de défense.



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