Une lettre adressée par l’Union Populaire Républicaine à l’Instance nationale de lutte contre la corruption fait état d’un cas de corruption qui met en danger la santé des Tunisiens.
En effet, la lettre indique que le parti a pris connaissance de cette affaire à travers la CNAM.
Il s’agit, selon la lettre, d’un médecin exerçant dans une clinique à Tunis qui a implanté à ses patients, des stents "périmés".
« Le dossier a été transmis à l’inspection médicale du ministère de la Santé, qui a conclus à l’implication de ce médecin dans cette pratique qui met la vie des malades en danger » indique la lettre.
Ainsi, l’Union Populaire Républicaine, dénonce le comportement du ministère de la Santé qui n’a pas saisi le procureur et n’a pas informé les patients concernés qui courent des risques de complications.
KJ