Lors d'une journée d'étude sur "les techniques de recherche dans les crimes financiers, le blanchiment d'argent comme étude de cas" le ministre de la Justice, Omar Mansour a fait savoir que le crime organisé existe en Tunisie mais demeure relativement restreint, rapporte l’agence TAP.
« Profitant des changements géopolitiques dans le monde arabe, de la fragilité de la situation et de la faiblesse des institutions tunisiennes au lendemain du déclenchement de la Révolution, le crime organisé a proliféré », a-t-il expliqué.
KJ