Le Syndicat des magistrats tunisiens (SMT) a demandé à l’Instance provisoire de l’ordre judiciaire de s'aligner avec les normes internationales, dont la sacro-sainte transparence.
Selon le SMT, l’Instance provisoire de l’ordre judiciaire a passé sous silence les postes vacants, coupant l'herbe sous les pieds des magistrats qui n'ont, du coup, pas eu assez de temps pour préparer leurs dossiers. Les magistrats ne seraient pas choisis selon leurs compétences mais plutôt par rapport à leur appartenance politique.
Certains postes judiciaires auraient même été attribués à des magistrats qui ne répondent pas aux critères requis, l’ancienneté par exemple. Même les promotions se feraient en douce.
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